Qu’est-ce que c’est ? Originaire du Japon, le shiatsu* est une technique énergétique de soin et de bien-être. Le spécialiste en shiatsu va exercer des pressions avec ses pouces, ses mains, ses coudes, ses genoux sur les méridiens du corps du receveur, et des étirements contribuant ainsi à harmoniser l’énergie globale du corps. Le shiatsu est une technique prenant en compte la personne dans sa globalité, corps et esprit, en vue d’améliorer ou de maintenir la santé.
Pourquoi ? Le shiatsu est indiqué pour soulager les douleurs musculaires et articulaires (courbatures, mal de dos, tensions épaules et cervicales, les rhumatismes, l’arthrite) , les troubles respiratoires, de la sphère ORL, digestifs et gynécologiques, les tensions émotionnelles (anxiété, stress,…).
Comment et pour qui ? Le shiatsu se pratique sur un petit matelas à même le sol (futon). Le receveur est vêtu/e d’habits amples et confortables permettant le mouvement ainsi que de chaussettes (pour l’hygiène). Le shiatsu se pratique sans problème au-travers des habits. Le shiatsu peut également se pratiquer sur chaise ergonomique. Ce soin est ouvert à tout public** et dure une heure.
Par qui ? Lydie Gache, diplômée du Syndicat professionnel de shiatsu (SPS), seul organisme habilité à donner le titre RNCP de spécialiste en Shiatsu.
Où et combien ? Séances individuelles de zenshiatsu – rdv : 07 81 08 38 06
- en cabinet : 50 €
– à Crest, La Bâtie Rolland, Roynac (26) - à domicile (Déplacements possibles sur Crest, Montélimar, Valence) : 60 €
Liste des mutuelles qui remboursent le shiatsu : ici
>> NB : Prévoir des vêtements souples pour la séance
« … La circulation du Ki est toujours meilleure lorsqu’on est complètement détendu et que l’esprit n’est pas attaché à quelque chose… » Shizuto Masunaga
* Le shiatsu est une des huit approches complémentaires citées dans la résolution A4-0075/97 du Parlement européen, votée le 29 mai 1997, en tant que « médecine non conventionnelle digne d’intérêt ».
** Le shiatsu ne se substitue pas à la médecine occidentale, mais peut se présenter plutôt comme un complément. Il ne dispense pas d’un avis médical, sa pratique pouvant être contre-indiquée dans certaines situations. »